Lioubov MILLER, Sainte Elisabeth : princesse allemande, martyre russe

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26,00 

Un texte d’une force d’une force et d’une actualité étonnante, qui peut nous rappeler que le monde n’est pas seulement commercial. Nous sommes tous appelés à prêter attention à l’autre. Pas un «livre d’histoire», mais l’histoire d’un être exceptionnel, dont l’aura de martyr émeut et réveille l’humanité qui sommeille en chacun de nous. C’est un hommage à une vie donnée qui frappe par sa consistance. Ce livre, très documenté, écrit avec beaucoup d’émotion, est un salut rendu à une femme au-dessus du commun, dont les bienfaits prodigués à ceux qui souffrent et le sacrifice de son existence continuent de porter leurs fruits. Écoles, hôpitaux, associations d’aide aux enfants et aux adultes dans le besoin, sont autant d’institutions caritatives qui se sont développées de par le monde à son instigation. Morte en martyre pendant la révolution russe, la grande-duchesse Élisabeth (1864-1918) a été canonisée par l’Église orthodoxe russe à l’étranger en 1981. Sa vie d’abnégation, son courage, sa foi et son amour absolu de l’autre, ont profondément marqué son époque et continuent de marquer, dans le monde entier, des générations de croyants et de non-croyants, à qui elle offre simplement l’exemple de l’espoir et l’amour infini.

Disponibilité : 9 en stock

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Un texte d’une force d’une force et d’une actualité étonnante, qui peut nous rappeler que le monde n’est pas seulement commercial. Nous sommes tous appelés à prêter attention à l’autre. Pas un «livre d’histoire», mais l’histoire d’un être exceptionnel, dont l’aura de martyr émeut et réveille l’humanité qui sommeille en chacun de nous. C’est un hommage à une vie donnée qui frappe par sa consistance. Ce livre, très documenté, écrit avec beaucoup d’émotion, est un salut rendu à une femme au-dessus du commun, dont les bienfaits prodigués à ceux qui souffrent et le sacrifice de son existence continuent de porter leurs fruits. Écoles, hôpitaux, associations d’aide aux enfants et aux adultes dans le besoin, sont autant d’institutions caritatives qui se sont développées de par le monde à son instigation. Morte en martyre pendant la révolution russe, la grande-duchesse Élisabeth (1864-1918) a été canonisée par l’Église orthodoxe russe à l’étranger en 1981. Sa vie d’abnégation, son courage, sa foi et son amour absolu de l’autre, ont profondément marqué son époque et continuent de marquer, dans le monde entier, des générations de croyants et de non-croyants, à qui elle offre simplement l’exemple de l’espoir et l’amour infini.

Considérée comme l’une des plus belles femmes d’Europe, Élisabeth de Hesse-Darmstadt, fille du grand-duc allemand Louis IV de Hesse et de la princesse Alice de Grande-Bretagne, est aussi la sœur de l’impératrice Alexandra de Russie et la petite-fille de la reine Victoria d’Angleterre. En 1884, elle épouse son cousin russe le grand-duc Serge, fils cadet du tsar Alexandre II et frère du tsar Alexandre III. Quatre ans après son mariage, en 1888, Élisabeth revient très impressionnée d’un pèlerinage qu’elle fait avec son mari en Terre Sainte, à l’occasion de l’inauguration de l’église russe de Jérusalem, Sainte-Marie-Madeleine, érigée en la mémoire de l’impératrice Maria Féodorovna. Restée luthérienne après son mariage, mais d’éducation anglicane par sa mère, Élisabeth décidera en 1891 de se convertir à l’Orthodoxie, à la grande surprise de son entourage, et même de son époux. Son dévouement inlassable pour soulager les souffrances des pauvres et sa générosité rendront vite la grande-duchesse populaire. Après l’assassinat de son époux, le 17 février 1905, Élisabeth embrasse la vie monastique et fonde à Moscou le couvent Saintes-Marthe-et-Marie, dont elle devient la supérieure, se consacrant au soin des malades et à l’aide aux plus démunis. Pendant la Révolution, elle refuse toute aide extérieure, préférant demeurer, au péril de sa vie, auprès de ses sœurs dans son couvent, et continuer son action auprès des pauvres. Élisabeth est arrêtée par les bolcheviks et déportée à Ekaterinbourg, puis à Alapaïevsk dans l’Oural. Elle y subit une longue et éprouvante détention, avant d’être exécutée le 18 juillet 1918 dans des conditions atroces. Après lui avoir bandé les yeux, ses bourreaux la jettent vivante, avec ses compagnons, dans un puits de mine à demi inondé. Les victimes ne s’étant pas noyées, les bolcheviks tentent de les achever en jetant des grenades au fond du puits, et le remplissent de branchages auxquels ils mettent feu ; puis ils les abandonnent à une lente et douloureuse agonie. Le prêtre, confesseur d’Élisabeth pendant sa détention, retrouve plus tard les corps, les met en bière, et traverse la Sibérie avec les cercueils jusqu’en Chine, pour les mettre à l’abri au-delà de la frontière russe. Sainte Élisabeth de Russie repose à Jérusalem.

Auteur :

Lioubov Miller vit en Australie et écrit en russe. Elle est née en Chine, en Mandchourie, dans une famille de réfugiés russes blancs qui, après avoir vécu la guerre civile de 1918-1922, puis les persécutions communistes, ont dû fuir jusqu’en Australie. Son parcours est hétéroclite pour un auteur de cette envergure : elle a passé de longues années à travailler comme dessinatrice technique. Depuis, elle se déplace souvent entre Caulfield, en Australie, et la Russie, pour écrire et voyager. Elle est choriste dans sa paroisse orthodoxe russe (Église russe à l’étranger).
Auteur de plusieurs ouvrages traduits en différentes langues sur la famille impériale russe et sur les personnages historiques qui ont marqué l’époque de la révolution russe. La plupart de ses ouvrages sont devenus des best-sellers en Russie, aux États-Unis, ainsi qu’en Europe. Ses écrits sont très appréciés par les croyants de tous horizons. Son dernier ouvrage est consacré au général Koltchak, qui a mené l’armée blanche contre les bolcheviques et révèle des faits historiques inédits et bouleversants sur ces événements fondamentaux pour l’Histoire de la Russie. Il n’est pas encore traduit.
Sa plume, à la fois fine et simple, basée sur la recherche et qui puise sa source dans la citation de documents inédits, frappe par sa manière de faire revivre sous nos yeux les personnages historiques et leur donne un souffle inattendu qui nous les rend extraordinairement proches.

Pour l’ouvrage Sainte Élisabeth, Princesse allemande, martyre russe Lioubov Miller s’est en partie inspirée du livre Aux portes du jugement dernier, Élisabeth Féodorovna, grande-duchesse de Russie (1940) de Maurice Paléologue, dernier ambassadeur de France dans la Russie tsariste.

“Ces gens vêtus de robes blanches, qui sont-ils et d’où viennent-ils ? Ce sont ceux qui viennent de la grande épreuve : ils ont lavé leurs robes et les ont blanchies dans le sang de l’Agneau. C’est pourquoi ils sont devant le Trône de Dieu, Le servant jour et nuit dans Son Temple […] Et Dieu essuiera toute larme de leurs yeux” (Apocalypse, VII, 13-17).»

cité par Protopresbytre Boris Bobrinskoy
dans sa Préface à l’ouvrage Sainte Élisabeth, Princesse allemande, martyre russe

Poids 0,5 kg
Dimensions 21 × 14 × 2,5 cm
Broché :

320 pages

Éditeur :

Éditions Temps & Périodes

ISBN :

978-2-35586-024-9

Langue :

français

Illustrations :

Une icône imprimée de la sainte Élisabeth

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